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Pardonne-moi
si la douleur remue tout
Qu'elle me broie
De t'aimer comme un fou
Que tu n'es pas
Pardonne-moi
Pardonne-moi
La profondeur de mon amour
Pour toi
Si c'est du sang qui coule
Au fond de moi
Pardonne-la
Prince hongrois
Nos chaque jour :
... Il était une fois
Des vœux d'amour
Quand il montait chez moi
La première fois...
Prince hindou
Je l'imagine encore
Au creux de moi
Je veux plonger dans son cœur,
Et sa voix
Me dit tout bas...
Prince arabe
Tes silences effleuraient
Du bout des doigts
Tous mes sens, aurons-nous
Un autrefois ?
Reste chez moi
Prince Aurore
Où en est-tu
De ces pulsions de mort ?
Qu'avons nous fait de bien
après l'effort
Deux corps, un sort
Prince hongrois
L'on descend de l'autre
Coté du monde
Parcourir l'étoile
A chaque seconde
Partager l'ombre
Prince noir
Délivre-moi de mon sang,
D'un espoir
Car en moi guette un silence
Sans fard
Un nulle part(M.F.)
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Et oui, me voici de retour...
La journée fut chouette, sympa même...
Pourtant si tu savais nos conversations... j'ai rencontré quelqu'un ayant le même blessure, donc je ne te précise pas qu'elles ont beaucoup été centrées le mariage... pire... sur l'être aimé.
Il parlait de sa douce, je décrivait mon tendre.
Bien entendu nous avons abordé d'autres sujets, ou plutôt, tenté !
Cette dingue cette puissance que peut avoir l'amour, mais tout de même rassurant (même si ça me peine pour lui) de constater qu'un homme peut ressentir les mêmes manques que moi.
Je ne suis donc pas unique, névrosée ni folle, juste encore amoureuse.
Qu'est-ce que je donnerais pour savoir ce qu'il en est pour toi...
Mon avocat m'a dit que tu n'avais entammé aucune procédure de divorce, est-ce un rêve, t'es-tu enfin décidé à prendre le temps de penser autre que boulot, ta présence le 02 de ce mois sur rdv était-ce pour voir si je ne t'y avais déposé un message ?
Question, sur question et silence radio, crainte des mots...
Je suis fatiguée, mes plaies ne s'arrangent pas, alors ce sera assez pour ce soir.
P.S. : A. m'a répondu, elle nous soutient et espère que les choses s'arrangeront, visiblement sa maternité se passe à merveille et la rend enjouée.
Je t'avoue que j'envie ce moment de grâce, mais te jure à nouveau préférer y renoncer que de te perdre.
N'en doute pas, car jamais, oh grand jamais, je ne te le reprocherais comme tu le crains tant.
Affectueusement
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