• Et plus encore la fin de cet amour.

    Pourquoi ? je ne te cacherai pas que multiples sont les raisons.

    Notre première conversation téléphonique m'avait beaucoup rassurée, j'allais enfin ne plus avoir mal. Tu semblais comme quand nous "étions" ensemble, penser à tout, te sentir responsable et surtout attentif au problème. Je remerciais le ciel d'espérer voir enfin un médecin compétent qui allait soulager ces fichues plaies, papa en pleurait, et te remerciait.

    Oui, j'en pouvais tellement plus de douleurs que j'ai osé lui montré le bas de mon dos, tu t'imagines, moi si pudique montrer ma petite culotte à mon père.

    Je pensais vraiment que tu avais compris l'urgence du problème. Mais visiblement... à mettre en balance avec me laisser dans la voiture le temps de ton rendez-vous, préférable fut-il que j'annule le mien.

    Puis suivi le deuxième appel, plus question de chercher un hopital ni de solutions :tu n'étais plus disponible. Puis...quelles paroles assassines !

    Quel discours tu m'as à nouveau tenu, des mots si durs que je n'ai osé te dire que j'avais 22 jours de retard, et oui depuis notre dernière "rencontre" je n'ai plus été dérangée...

    Oups tél... je te laisse et posterai la suite après


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  • Pourrrais-je un jour rejoindre ce lit si grand, si froid rempli de temps d'Amour ?

    Je dois attendre de crouler sous la fatigue pour pouvoir le rejoindre, parfois, je me force à passer une nuit blanche pensant que la suivante sera assomante... utopie, douce illusion, ultime rêve !

    J'aimerais tant un peu de répis... trouver le bouton "off"... être certaine que tu ne m'aimes plus, que jamais tu ne reviendras ou encore que tu ne me mérites pas, mais il suffit d'une odeur, du souvenir d'un geste, d'une attention pour me rammener à cette certitude : tu m'aimes et me veux le meilleur.

    Alors je t'en supplie,ni l'âge, ni la fertilité ne sont "mes meilleurs".

    Je ne comprends plus rien, plus personne ne comprend... tant d'attention, de précaution et cette absence qui dure, qui dure et se prolonge encore.

    C'est bête quand on s'aime, car comme tu le redoutes, je puis te le confirmer, je ne le regretterai pas dans cinq ans, ou si, je regretterai d'avoir gâché tout ce qui nous attend, car après le pire, nous ne pouvons plus qu'avoir le meilleur !

    Les nuits

    Les nuits

     

    La nuit se lève, la lune s'élève
    Les plus mauvaises nuits
    Maudits soupirs, maudits matins
    Les plus mauvais matins
    Je voudrais juste me coucher, dormir contre toi
    Je ne te toucherai pas, juste m'endormir avec toi
    Un lit défait à te rechercher
    Le désordre et l'absence
    La nuit est noire et sans espoir
    Et sa présence me manque
    L'amour n'est plus qu'une impression,
    Qu'une mauvaise impression
    Mais la lumière est sale et pâle et seule,
    Comme un matin
    Mais je ne t'appartiens plus
    Tu ne m'appartiens plus,
    On ne se connaît plus
    Mais je ne t'appartiens plus
    Tu ne m'appartiens plus,
    On aurait disparu
    La nuit se lève, la lune s'élève
    Mes plus mauvaises nuits
    Maudits soupirs, maudits matins
    Mes plus mauvais matins
    Je voulais juste me coucher,
    Dormir contre toi
    L'amour n'était qu'une impression,
    Qu'une mauvaise impression
    Et si je te revois
    Mais si je te revois,
    Encore une dernière fois
    Alors emmène-moi
    Emmène-moi encore,
    Encore une dernière fois
    Maudits soupirs
    Mauvais matins
    Et si tu reviens...
    Maudits soupirs
    Mauvais matins
    Et si je te revois
    Mais si je te revois,
    Encore une dernière fois
    Alors emmène-moi
    Emmène-moi encore,
    Encore une prochaine fois

    (I.)


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  • C'est pas le bon plan que le plan "blues" ni "bilan" à cette heure-ci.

    Il y a un an tu m'as révélée, dessinée, pas comme tu le voulais, mais en faisant ressortir les traits de celle que j'étais et suis...

    Pas facile de d'assumer une personnalité enfuie tant d'année...


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  • ...


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  • Triste elle est prête à tout
    Pour rien, pour tout
    Dans la ronde des fous elle pleure tout doux
    L'amour a tué les mots qui la touchent, touchent
    Contre ta bouche elle veut qu'on la couche

    Triste elle fait la grimace,
    Devant sa glace
    D'un coup du cœur enlace l'ombre qui passe
    Et rien jamais n'effacera les traces, lâches
    Du sang qui coule des corps qui se cassent

    Adieu Tristana
    Ton cœur a pris froid
    Adieu Tristana
    Dieu baisse les bras
    Laissez-la partir
    Laissez-la mourir
    Ne le dites pas
    Tristana, c'est moi !

    Triste sort Tristana
    Tu sais, crois-moi
    Trois petits tours, elle s'en va
    La vie comme ça
    Les plus beaux jours s'achèvent dans la peine, haine
    Pourquoi faut-il payer de ses veines

    Adieu Tristana
    Ton cœur a pris froid
    Adieu Tristana
    Dieu baisse les bras
    Laissez-la partir
    Laissez-la mourir
    Ne le dites pas
    Tristana, c'est moi !

    (M.F)


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