• Le test de grossesse est négatif, ouf ou snif !

    Je t'avouerai que même si je redoutais une grossesse, j'y voyais là peut-être une solution, pas pour ressouder, mais parce que la stérilité nous a séparés...

    Et oui, je croyais un peu au miracle !


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  • Plus de clochette...

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  • Voilà que j'en reviens pour finir mon post de tout à l'heure mais voilà le seul mot que je trouve, Sam m'a confié avoir essayé de t'appeler et tu n'as même pas daigner répondre. Pour qui te prends-tu ?

    Tu penses honnêtement que du haut de tes 42 ans, de tes deux divorces, et toujours d'aucune stabilité tu as de quoi prendre les gens pour de la m...

    Tu es pathétique, j'en arrive à me demander comment j'ai pu t'aimer au point de te rédiger ce blog et surtout de me rendre malheureuse.

    Rien ne te touche... moi qui avait craqué pour tes larmes.

    Serait-ce le véritable B. que j'avais aperçu le jour où tu as déchiré ton panthalon en poursuivant en haut ?

    Car si on fait le bilan et compte les points tels que tu aimes le faire, sur un peu plus d'un an maintenant, j'ai peut-être une semaine d'erreurs sans jouer à la femme parfaite non plus à mon compteur.

    Pourquoi refuses-tu tout bonheur ?

    Bon, je finirai dès que mon état me le permettra puis te donnerai l'adresse car c'est fait, je demande le divorce, et déposerai également pour non assistance à personne en danger puisqu'un médecin de garde est passé et m'a confirmé que la chimio était responsable de mes plaies, enfin, de leur durée et que je nécessitais des soins hospitaliers.

    Tu es inhumain, où t'es-tu perdu ?

    Je n'arrive pas à me convaincre que tu aurais pu me tromper à ce point, mais dans la vie, on est jamais au bout de ses surprises !

    Bien à toi


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  • Et plus encore la fin de cet amour.

    Pourquoi ? je ne te cacherai pas que multiples sont les raisons.

    Notre première conversation téléphonique m'avait beaucoup rassurée, j'allais enfin ne plus avoir mal. Tu semblais comme quand nous "étions" ensemble, penser à tout, te sentir responsable et surtout attentif au problème. Je remerciais le ciel d'espérer voir enfin un médecin compétent qui allait soulager ces fichues plaies, papa en pleurait, et te remerciait.

    Oui, j'en pouvais tellement plus de douleurs que j'ai osé lui montré le bas de mon dos, tu t'imagines, moi si pudique montrer ma petite culotte à mon père.

    Je pensais vraiment que tu avais compris l'urgence du problème. Mais visiblement... à mettre en balance avec me laisser dans la voiture le temps de ton rendez-vous, préférable fut-il que j'annule le mien.

    Puis suivi le deuxième appel, plus question de chercher un hopital ni de solutions :tu n'étais plus disponible. Puis...quelles paroles assassines !

    Quel discours tu m'as à nouveau tenu, des mots si durs que je n'ai osé te dire que j'avais 22 jours de retard, et oui depuis notre dernière "rencontre" je n'ai plus été dérangée...

    Oups tél... je te laisse et posterai la suite après


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